Le secteur aéronautique regroupe 188 000 salariés en France (source GIFAS). Dans ce secteur, l’avionique joue un rôle prépondérant, car elle a pour objectif de s’occuper de tous les équipements électroniques, électriques et informatiques nécessaires au pilotage d’un aéronef. Les perspectives sont au beau fixe et les recrutements sont nombreux.
Le secteur est en besoin constant de nouveaux personnels qualifiés. Les ingénieurs font partie des personnels les plus recherchés, puisque selon les derniers chiffres, ce sont eux qui sont les plus convoités et les plus recrutés (environ 70% du total). Personnel clé, hautement qualifié, l’ingénieur avionique est précieux et rare. Trouver la personne idéale pour votre entreprise étant plus que complexe, c’est ici que Freelance-Engineering vous vient en aide.
Vous êtes une entreprise du secteur avionique et vous avez besoin de renfort pour une mission ou sur un projet spécifique ? Nos 8765 profils de freelances en ingénierie sont là pour vous venir en aide. Chacun(e) d’entre eux/elles a créé un profil détaillé sur Freelance-Engineering, stipulant sa formation, compilant ses compétences, ses expériences, sa ou ses spécialité(s) ou encore sa localisation.
Ainsi, de la manière la plus aisée, vous pouvez trouver les profils qui conviendront au mieux à vos attentes spécifiques. Vous pouvez également affiner votre recherche en les filtrant par zone géographique ou encore par fonction. Tous les critères sont personnalisables afin de vous offrir les résultats les plus proches de vos attentes.
Nos 8765 profils d’ingénieurs disponibles sont le gage de la confiance que ces professionnels hautement qualifiés nous portent pour servir d’intermédiaire à leur mise en relation avec des entreprises clientes. En s’inscrivant sur Freelance-Engineering, ils rédigent un CV complet à l’attention des futurs recruteurs.
Vous recherchez un ingénieur sorti de Polytechnique, ou plutôt de SupAero, ou encore de l’INSA ? Vous souhaitez pouvoir accéder et comparer aisément les expériences et les compétences de plusieurs ingénieurs en quelques clics ? Notre site vous offre des possibilités sans limites de trouver l’ingénieur freelance qui comblera toutes vos attentes et constitue la valeur ajoutée dont vous avez besoin pour votre entreprise.
Les ingénieurs sont un élément primordial du secteur de l’avionique puisque leur part dans les recrutements sectoriaux se monte à plus de 70%. L’avionique est une industrie hautement concurrentielle, aussi bien pour les très grandes entreprises comme Thalès, Safran Aerosystems, Rockwell Collins que pour les TPE/PME. Elle a donc un besoin permanent de nouveaux profils, tout particulièrement pour les ingénieurs dont les missions sont particulièrement nombreuses et variées.
En effet, l’ingénieur avionique peut être conduit à travailler dans des entreprises diamétralement différentes au sein du même secteur, que ce soit par la taille ou par la nature des missions confiées. Selon les domaines de compétences de l’ingénieur, il peut être amené à des missions variées:
Les missions de l’ingénieur avionique sont donc à son image : multiformes.
Vous êtes une entreprise du secteur avionique et vous avez un besoin rapide de renfort pour vos équipes ? Vous êtes à la recherche de sang neuf et d’esprit novateur à apporter dans votre structure ? La solution la plus classique est d’organiser une campagne de recrutement dite « traditionnelle », bien trop chronophage et restrictive.
Deuxième possibilité, passer par une agence de recrutement, ce qui vous permet d’économiser du temps, mais qui vous prendra une commission substantielle.
Il vous reste enfin une troisième solution, le « meilleur des deux mondes » pourrait-on dire : utiliser Freelance-Engineering, notre plateforme de mise en relation des freelances et des entreprises clientes.
Dénicher un ingénieur de valeur pouvant apporter une véritable plus-value pour votre entreprise est devenu un vrai casse-tête. Chez Freelance-Engineering, notre expérience est votre principale force. Nous sommes exclusivement spécialisés dans la mise en relation de freelances en ingénierie avec leurs clients potentiels, et nous le faisons particulièrement bien. Notre pool de près de 8765 ingénieurs en est la meilleure garantie.
Vous faire gagner du temps constitue notre principal objectif. Vous pouvez utiliser nos services comme simple intermédiaire et consulter nos profils d’ingénieurs. Vous pouvez également nous considérer comme tiers de confiance et vous reposer partiellement ou entièrement sur notre savoir-faire et notre expérience en matière de sourcing pour trouver l’ingénieur parfait qui répondra à tous vos besoins.
Freelance-Engineering est entièrement sécurisé et très simple d’utilisation. En tant que Freelance, vous avez la possibilité de créer votre profil gratuitement et de le rendre visible par les recruteurs. Vous pouvez également consulter à tout moment les missions déposées par nos entreprises clientes.
Pour les entreprises faisant appel à nos services, les possibilités sont très nombreuses pour s’adapter à vos besoins. Vous pouvez facilement déposer des offres de mission à destination des freelances sur le site. Vous pouvez également proposer ces missions spécifiquement aux ingénieurs que vous avez sélectionnés (jusqu’à 100 simultanément).
Vous pouvez échanger via notre messagerie sécurisée avec les candidats choisis. Si vos besoins sont différents, nous vous proposons une offre entièrement sur mesure. Il existe également de nombreuses options premium disponibles, du sourcing au portage salarial ou encore l’accès complet à tous nos profils.
Dans les évolutions du marché du travail, de plus en plus d’ingénieurs décident de se convertir en Freelance. Désormais, les possibilités de télétravail se sont développées et les gens désirent avoir un environnement professionnel de qualité tout en préservant leur vie de famille, ils souhaitent éviter les trajets longs et répétitifs et profiter d’un cadre de vie moins stressant.
Néanmoins, c’est essentiellement l’argument financier qui explique ce choix, car selon plusieurs rapports et sondages, un ingénieur freelance gagnerait en moyenne 40% de plus qu’un ingénieur salarié. Cette différence peut expliquer ce changement.
À première vue, cela peut paraître exceptionnel, mais il ne faut pas perdre de vue qu’en tant que freelance, il est nécessaire d’intégrer et d’accepter l’incertitude des revenus et/ou leur fluctuation. Durant certains mois vous gagnerez beaucoup, et durant d’autres mois beaucoup moins. Chaque situation étant unique, il vous faudra vous demander quel statut vous convient le mieux.
Le statut de Freelance est synonyme de liberté professionnelle quasi totale et de très grande autonomie au regard d’un statut de salarié. Toutefois, vous devez très soigneusement définir votre statut juridique afin que l’expérience freelance se déroule au mieux. Plusieurs solutions s’offrent à vous:
En tant qu’ingénieur freelance, vous rencontrez certainement des difficultés pour fixer votre taux journalier moyen (TJM). Fixé trop haut, il risque de vous faire perdre des clients. Fixé trop bas, vous risquez de ne pas vous y retrouver financièrement. Il vous faut donc penser en chiffre d’affaires annuel plutôt qu’en revenu mensuel.
Essayez de bien faire la différence entre le Taux journalier moyen et le Taux horaire moyen. En fonction de la mission, vous pouvez décider d’adopter l’un ou l’autre. Pour créer une base de référence, de nombreux ingénieurs freelances prennent pour base leur dernier salaire pour calculer leur TJM.
Ainsi, si l'on prend par exemple le salaire d’un ingénieur aéronautique en France de 4 000 euros brut mensuel, on peut facilement calculer le TJM en ajoutant les frais de fonctionnement, les charges éventuelles, les congés payés. Cela donne un TJM d’environ 500 à 600 euros HT par jour pour un profil débutant (moins de 5 ans d’expérience). Pour un profil plus expérimenté, le TJM peut monter jusqu’à 700/800 euros HT par jour, et même à plus de 1000 euros HT/jour pour des profils rares.
Si vous voulez comparer un salaire net mensuel à un TJM, il vous faut prendre en considération les charges qui incombent aux indépendants. Ainsi, vous devez partir du postulat que vos charges et vos besoins en trésorerie représentent environ 50% de votre ancien salaire mensuel. Dans ce cas, pour un salaire net mensuel de 3 000 euros, cela donnerait un TJM d’environ 391 euros HT/jour.
L’avionique est la spécialité regroupant l’ensemble des systèmes électroniques, électriques et informatiques qui permettent de piloter des aéronefs. Les systèmes avioniques font perpétuellement l’objet de nombreuses innovations. Ces dernières visent principalement à améliorer les performances générales de l’avion (comme le GPS), le confort du pilotage et la sécurité des passagers et du personnel durant les vols (radars, ILS/Instrument Landing System). L’avionique intervient sur :
Les systèmes avioniques fonctionnent en temps réel. Ils doivent permettre de protéger l’avion et ses passagers par une analyse permanente d’un certain nombre de paramètres. La fonction de mémorisation (c’est le rôle de la boîte noire) permet d’enregistrer et d’analyser a posteriori toute défaillance, permettant ainsi l'amélioration des systèmes.
L’avionique doit également permettre de limiter la vulnérabilité de l’aéronef. Les outils avioniques doivent ainsi pouvoir résoudre rapidement d' éventuels problèmes. Sans oublier que le contexte technique est perpétuellement mouvant, avec des avions de ligne toujours plus massifs et plus rapides. Enfin, ces systèmes doivent être insensibles aux virus informatiques ou tentatives malveillantes d'intrusion.
Les prévisions du secteur avionique sont étroitement corrélées avec le secteur aéronautique. Les prévisions de recrutement des entreprises sont positives et devraient largement dépasser les 10 000 recrutements annuels. Dans ces besoins, les techniciens supérieurs et les ingénieurs font figure de denrées rares et convoitées.
La filière avionique nationale a besoin de compétences nouvelles pour mener à bien ces multiples défis. Dans ce chemin vers l’industrie 4.0, vers la mobilité durable, vers les drones, les missions ne manquent pas et l’avionique y tient une place prépondérante.
En France, le secteur de l’aéronautique est constitué de gigantesques constructeurs comme Thalès, Safran etc. et de toute une myriade d’entreprises partenaires ayant chacune leur rôle dans le processus d’approvisionnement (fabricants de pièces, de logiciels ou d’équipements) ou dans la prestation de services (bureaux d’études, consultants, etc.).
La particularité du secteur est sa dualité permanente entre civil et militaire, mais également le fait que l’essentiel de la production soit exporté. Ainsi, en 2021, selon les chiffres du GIFAS, cela représentait une valeur de 37,3 milliards d’euros.
Le secteur aéronautique et spatial est absolument essentiel en France. L’avionique y tient une place essentielle, car sans elle, les aéronefs ne peuvent voler en toute sécurité. En 2020, le secteur dans son ensemble représentait 4 480 sociétés pour un chiffre de 188 000 salariés. Cela correspond à environ 7% des emplois industriels en France.
Néanmoins, il n’y a qu’une trentaine de ces sociétés qui sont considérées comme de « grands constructeurs ». La grande majorité du tissu industriel du secteur avionique est constituée par des petites et moyennes entreprises, voire des TPE.
Que ce soit sur les critères d’emploi (près de 90% des effectifs globaux) ou sur des critères de chiffre d’affaires (près de 90% du total également), l’aéronautique reste extrêmement dominante face au spatial.
En 2020, le chiffre d’affaires du secteur est tombé à 52,9 milliards d’euros du fait de la crise mondiale. Ce chiffre est remonté à 55,3 milliards d’euros en 2021 (chiffres donnés par le GIFAS). La reprise s’est poursuivie en 2022 et les indicateurs sont positifs.
Dans le domaine de l’emploi, le secteur représente 188 000 salariés, dont 45% d’ingénieurs et cadres. Le secteur aéronautique concentre l’essentiel des emplois (91,2%), qui sont également majoritairement masculins.
Mettons tout d’abord fin à une idée reçue, il n’est pas indispensable d’être ingénieur pour travailler dans l’avionique. De multiples possibilités existent. Ainsi, la formation démarre dès le CAP aéronautique (avionique, systèmes et structure). Toutefois, il est quand même préférable d’avoir un bac pro aéronautique (option avionique). Des mentions complémentaires existent afin d’étoffer sa formation.
Même si le secteur avionique recrute bien plus largement des ingénieurs , les techniciens supérieurs ont un rôle essentiel dans l’ensemble productif et dans la conception. Ce sont les charnières entre innovation R&D et fabrication. Pour ces postes, un DUT/BUT, un BTS ou une Licence pro suffisent.
Enfin, les diplômés d’une école d’ingénieurs concentrent l’essentiel des recrutements (60% au global et même 80 % des recrutements à bac + 5), mais de nombreuses universités proposent des Masters 2 qui permettent à leurs étudiants de sortir du lot.
Le secteur de l’avionique est essentiellement, du moins dans l’image qu’en a le grand public, un secteur d’ingénieurs (la réalité est plus complexe). L’ingénieur avionique est globalement considéré comme un ingénieur aéronautique spécialisé en avionique. Il conçoit, fabrique, teste, entretient et parfois commercialise des matériels, pièces et logiciels indispensables au vol des aéronefs , mais aussi des fusées, des satellites ou encore des missiles.
Les possibilités sont quasi-infinies car elles varient en fonction du secteur (civil ou militaire), de la taille de l’entreprise choisie et de la spécialité de l’ingénieur (électronique, électrique, mécanique, cybersécurité, optique, télécommunications, logiciels, matériaux composites, etc.). C’est un secteur très concurrentiel dans lequel la veille technologique est obligatoire, ainsi que la pratique de l’anglais.
L’ingénieur avionique est un couteau suisse. On lui confie des tâches multiples allant de la conception à la fabrication, de l’entretien à la commercialisation, sans oublier les phases de tests. L’ingénieur avionique est le plus souvent spécialisé dans un domaine spécifique, mais doit être capable de travailler avec de nombreux autres domaines d’ingénierie. Travailler dans le secteur avionique, c’est exercer dans un environnement mondialisé, tourné vers l’avenir, ultra innovant, mais également extrêmement concurrentiel.
Pour un ingénieur avionique, les perspectives d’évolution de carrière sont nombreuses et variées. Après des débuts au sein d’une équipe ou d’un bureau d’études, l’ingénieur sera appelé à prendre davantage de responsabilités au sein de son entreprise. Il se verra alors confier la gestion de budgets plus importants ou la direction de projets plus complexes.
Tout d’abord, un ingénieur en avionique doit être doté d’une certaine ouverture d’esprit. En effet, on ne peut penser au futur et concevoir des produits innovants sans cette qualité. Autre élément essentiel, la maîtrise de plusieurs langues, et principalement l’anglais, car c’est le plus souvent la langue de travail ou d’échange puisque certaines entreprises sont présentes dans le monde entier.
Toujours alerte et en phase avec son temps, l’ingénieur avionique devra durant toute sa carrière exercer une veille technologique constante afin de ne pas être dépassé. Doté d’un cerveau vif et d’un esprit de synthèse développé, l’ingénieur avionique sait et aime travailler en équipe et déléguer des tâches.
Enfin, un ingénieur avionique est amené à prendre des décisions importantes et à gérer des imprévus éventuels et y remédier. Il est également efficient dans la gestion d'un budget ainsi que du temps qui lui a été alloué pour la réalisation d’un projet.
Le salaire assez élevé en comparaison des autres secteurs d’activité est l’un des arguments principaux en faveur d’un poste d’ingénieur avionique. Le salaire moyen d’un ingénieur du secteur est d’environ de 60 000 euros bruts annuel. Ainsi, les ingénieurs fraîchement diplômés et titulaires d’un diplôme d’une grande école d’ingénieurs (ISAE SupAero ; ENAC ; École de l’Air etc.) émargent entre 3 400 euros et 3 800 euros bruts mensuel. Cette rémunération progresse assez rapidement à 5 000 euros nets et peut même augmenter avec des spécialisations et d’éventuelles responsabilités.
Le salaire moyen d’un ingénieur avionique se situerait à 61 000 euros nets environ. Néanmoins, les choix de carrière influent de manière très importante sur la grille des salaires et sur sa progression.
Ainsi, tous les ingénieurs du secteur démarrent autour de 30 à 35 000 euros nets annuels. Néanmoins, cette grille peut évoluer rapidement, surtout pour le secteur de l’informatique industrielle, la cybersécurité et la R&D. Après à peine 10 ans de carrière, les ingénieurs de ces secteurs peuvent émarger à 80 000 euros bruts annuels, soit 6 700 euros mensuels.
Le manque de spécialistes sur certains postes fait encore augmenter la rémunération. La rareté se rémunère de manière plus importante. La cybersécurité est par exemple un secteur en demande forte de matière grise et un ingénieur avionique avec cette expertise peut rapidement atteindre plus de 170 000 euros nets annuels, soit environ 15000 euros/mois.
Le secteur de l’avionique est depuis de très nombreuses années l’un des fleurons de l’industrie française. Les recrutements repartent à la hausse, et cela ne concerne pas que les ingénieurs.
En effet, les carnets de commande sont pleins et les experts prévoient un doublement du trafic aérien mondial d’ici 2037. Les besoins sont donc très importants dans tous les secteurs concernés. Freelance-Engineering peut vous apporter une aide précieuse dans le recrutement de vos collaborateurs en vous proposant de très nombreux profils.
Le secteur emploie 188 000 salariés et nombre d’entre eux sont partis à la retraite ou ne vont pas tarder à le faire. Il va donc falloir les remplacer. Ainsi, le GIFAS annonce environ 15 000 recrutements pour l’année 2022, et certainement davantage en 2023. Les perspectives sont donc au beau fixe.
Enfin, il faut signaler que le secteur aéronautique/avionique offre une palette très vaste de métiers.
Nous pouvons les classer en quatre catégories :
Les systèmes embarqués ont une place prépondérante dans notre quotidien, et encore bien davantage dans le secteur de l’avionique. Ainsi, l'ingénieur spécialisé en systèmes embarqués a pour mission de concevoir des systèmes complexes à destination des aéronefs. Ceux-ci prennent place dans un réseau internet et répondent à une multitude de missions : surveillance, contrôle et communication.
L'ingénieur systèmes embarqués doit gérer l’ensemble du processus qui permet la conception du Hardware (un matériel électronique), mais également du Software (logiciels de gestion divers). Dans ce but, il joue le rôle d’assembleur des divers composants électroniques nécessaires, il réalise les schémas techniques, le travail de câblage, en assure les phases de tests ainsi que le suivi de production.
En tant que chef d’équipe avionique, l’ingénieur ou le technicien participe à l'élaboration et à l’exécution de la politique d'entretien des aéronefs et des équipements. Il assure le suivi de navigabilité de l'appareil. Il organise les opérations de maintenance, recueille les informations enregistrées par les différents équipements de navigation et d’enregistrement et propose les solutions techniques et d'entretien.
S’il officie dans la construction, il va concevoir les processus d'assemblage en dressant la chronologie des opérations et en établissant les moyens nécessaires. Il doit aussi préciser les niveaux et les domaines de compétence, les habilitations et les certifications requises. Il peut également avoir à positionner l'activité dans le planning global de l'unité d'assemblage. En cas de changement des structures et/ou des systèmes, il se charge d’élaborer de nouvelles procédures d'assemblage et de maintenance de l'appareil.
Les principaux employeurs sont les constructeurs comme Thalès ou Safran, mais également des entreprises de maintenance ou encore des équipementiers…
Le contrôleur qualité technique, ou inspecteur qualité aéronautique/avionique a pour mission de contrôler les produits à chaque étape de la production. Il vérifie la conformité du produit/matériel/logiciel au regard des documents de référence et atteste de la qualité des pièces et assemblages.
En cas d’anomalie, il a pour rôle de prescrire des actions préventives ou correctives. L’inspecteur doit tenir un journal dans lequel il inscrit toutes les interventions de contrôle et le suivi de la qualité qu’il a réalisé, les analyses de défaut éventuels dans les comptes rendus qu’il doit remettre à tous les services concernés.